Je ne remercierai jamais assez le bon vieux Guide du Routard des lieux qu'il m'a permis de voir à Delhi. Mais je me dois encore une fois d'avertir les âmes sensibles qu'il ne peut y avoir de visite culturelle de Delhi sans passer par différents lieux religieux...
jeudi 15 novembre 2012
mercredi 14 novembre 2012
De l'art de traverser la route à Delhi
Une nouvelle nuit dans le bus et me voilà débarquée à Delhi au petit matin.
Enfin... il est à peine 4h.
Enfin... nous sommes à peine à Delhi. En tout cas à une vingtaine de km encore du quartier de mon hôtel.
Au milieu d'une sorte de zone autoroutière indéterminée plongée dans le noir, sauf les feux des voitures, j'essaye de négocier un prix correct avec un rickshaw qui sait parfaitement que je ne peux que finir par craquer. A toute berzingue sur l'autoroute, je crains que mon sac glisse sur la route et il fait froid (rappel : je n'ai plus de chaussures fermées depuis qu'on me les a chourrées dans le train). Arrivée fantomatique dans le quartier Pahar Ganj où seul un flic maraudeur peut m'amener à mon hôtel camouflé dans une venelle. Un policier tout droit sorti d'un film de Charlie Chaplin : même bâton, même moustache. Mais moins drôle quand il me rackette de quelques roupies pour le service rendu. Je réveille le veilleur de l'hôtel, allongé en bas de la porte d'entrée vitrée, qui me refourgue une pauvre chambrette sans fenêtre avant de se recoucher.
J'ai trois jours à passer à Delhi avant de prendre l'avion. Grâce au Routard, je vous fais faire le tour de la ville...
Enfin... il est à peine 4h.
Enfin... nous sommes à peine à Delhi. En tout cas à une vingtaine de km encore du quartier de mon hôtel.
Au milieu d'une sorte de zone autoroutière indéterminée plongée dans le noir, sauf les feux des voitures, j'essaye de négocier un prix correct avec un rickshaw qui sait parfaitement que je ne peux que finir par craquer. A toute berzingue sur l'autoroute, je crains que mon sac glisse sur la route et il fait froid (rappel : je n'ai plus de chaussures fermées depuis qu'on me les a chourrées dans le train). Arrivée fantomatique dans le quartier Pahar Ganj où seul un flic maraudeur peut m'amener à mon hôtel camouflé dans une venelle. Un policier tout droit sorti d'un film de Charlie Chaplin : même bâton, même moustache. Mais moins drôle quand il me rackette de quelques roupies pour le service rendu. Je réveille le veilleur de l'hôtel, allongé en bas de la porte d'entrée vitrée, qui me refourgue une pauvre chambrette sans fenêtre avant de se recoucher.
J'ai trois jours à passer à Delhi avant de prendre l'avion. Grâce au Routard, je vous fais faire le tour de la ville...
Mais qu'est-ce qui m'a pris de vouloir visiter Delhi à pieds ?
Mots-clés :
découvertes culturelles,
Delhi

dimanche 11 novembre 2012
Un havre de paix
Je
quitte le Jharkhand pour un long voyage de... 36h : après un
dernier tour avec mes deux sacs à dos à l'arrière de la moto de
Birendra, il me dépose à la gare routière d'Hazaribagh. En route
pour 3h de bus, jusqu'à la gare de Koderma où je finis par trouver
une minuscule pièce qui sert de salle d'attente pour les femmes, au
milieu d'un quai.
lundi 5 novembre 2012
Appel pour le Jharkhand
La
famille Campana prend le large vers Bombai ; la 2e quinzaine du voyage
organisé par Gandhi international se termine donc maintenant et je
continue ma route toute seule (enfin, pour autant que l'on puisse
être seule en Inde !). En l'occurrence, je reste quelques jours avec
Birendra et son équipe de NSVK qui m'accueillent comme une invitée,
alors que je me suis un peu incrustée il faut le bien dire.
Mots-clés :
développement,
Ekta Parishad,
Gandhi,
Jharkhand,
terres et agriculture

vendredi 2 novembre 2012
Ekta Parishad sur le terrain
Le
voyage reprend une tournure plus sociale et politique, car nous voici
en direction d'un petit village dans le Jharkhand, un de ces États
inconnus les plus pauvres de l'Inde où sont cumulés, comme un jeu de domino, de nombreux problèmes : corruption et guérillas, accaparement des terres, déplacements forcés de populations, destruction des cultures
indigènes, trafics en tous genres et donc globalement de graves problèmes sociaux et économiques et donc tout simplement des questions de survie.
Mots-clés :
Adivasis,
développement,
Ekta Parishad,
Jharkhand,
terres et agriculture

jeudi 1 novembre 2012
Sur la montagne des Jaïns
Après
quelques jours paisibles à Bodhgaya, nous quittons l’État du
Bihar pour celui du Jharkhand plus au Sud. Dans le train, nous n'avons
pas de places réservées ; un Indien m'invite gentiment à partager
sa banquette en hauteur et engage la conversation.
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